24 mai 2005
Poème
Qu’elle vent
Au soleil levant
Comme tout les matins
J’attache mes cheveux d’un ruban de satin
Lors que je me levait
Je souriait
Puis j’être aimé
C’était la question que je me posais
Mais en continuant de sourire
J’entendis un petit rire
Qui pouvais bien rigoler ?
Soudain je frissonnai
Puis j’avoir peur ?
J’eu une lueur
Qui me fit tremblotai
Je me mis à pleurer
Mais parents était partis
Très loin à Tahiti
J’était seul en pleure
Morte de peur
J’entendis des grincement
J’essayer d’écouter tranquillement
Je m’habillais
Puis je cherchai
Je n’u rien trouvé
Je sortis
Et vis
Un monsieur qui rigolais
Alors je me mis à sauter
Le monsieur me regardai
J’u peur pour rien
Poème de ma création